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J'atteste par la présente que je suis un professionnel de la santé.
Corky Lafleur se porte mieux et se rend moins souvent à l’hôpital depuis qu’il a recours aux services de gestion des soins de Medtronic.
Corky Lafleur, 75 ans, a toujours été une personne active et indépendante.
« Je préfère sortir plutôt que rester à la maison. Je n’aime pas rester à la maison. Il faut que je bouge », raconte-t-il.
Son indépendance a été menacée il y a quelques années par ses problèmes de cœur et son diabète qui l’ont envoyé à l’hôpital à maintes reprises.
D’abord réticent, il a finalement accepté de participer au programme de services de gestion des soins de Medtronic.
« Ça me donne la confiance de me relever et de faire des choses. On se sent tellement mieux. J’ai toujours été une personne très active. Maintenant, je le suis encore plus », dit-il.
Chaque matin, Corky monte sur son pèse-personne spécialement conçu par Medtronic, qui lui pose des questions sur son poids et ses autres problèmes de santé.
Ses réponses sont transmises directement à Helen Deloney, son infirmière personnelle autorisée des services de gestion des soins.
Les données permettent à Helen d’identifier plus rapidement les problèmes et d’y remédier avant qu’ils ne deviennent trop graves.
Elle peut assurer le suivi de centaines de patients grâce au système de gestion de soins. Elle ne pourrait en suivre que des douzaines si elle rencontrait les patients en personne.
Ses patients demeurent généralement en meilleure santé et doivent se rendre moins souvent à l’hôpital.
Tout cela contribue au changement du paysage médical, qui commence à récompenser les médecins et les hôpitaux dont les patients sont en meilleure santé et dont les visites à l’hôpital sont moins fréquentes.
Jouissant d’une croissance rapide, la technologie de gestion des soins de Medtronic aide actuellement 95 000 patients aux États-Unis.
Medtronic perçoit sa prestation de services comme un partenariat.
Une collaboration avec les hôpitaux et d’autres partenaires pour que les patients recouvrent la santé et la maintiennent, tout en évitant des coûts au système de santé.
« Il n’y a pas de solution miracle à la gestion des maladies chroniques », note d’abord Jeffrey Joliet, vice-président des ventes aux États-Unis pour les services de gestion des soins de Medtronic. « Il faut établir un réel partenariat qui englobe à la fois la technologie, une expertise clinique, un soutien du côté des soins infirmiers et, franchement, de l’expérience. Ce sont ces éléments qui font que la gestion des maladies chroniques est efficace », explique-t-il.
L’hôpital HSHS St. John's à Springfield en Illinois, est sans doute l’endroit où ce partenariat fonctionne le mieux. C’est aussi l’un des premiers hôpitaux à s’être joint à l’équipe de gestion des soins de Medtronic.
« Je crois que depuis le début c'est un travail collaboratif », déclare le Dr Mark Stampehl, qui dirige le programme pour le Prairie Heart Institute de l’hôpital St. John's.
« Ce n’est pas comme si nous ne faisions que payer pour un service ou comme si nous avions signé un contrat pour un outil. Nous avons vraiment travaillé en collaboration avec Medtronic alors qu’elle commençait à développer l’outil, à raffiner son utilisation. »
Le Dr Stampehl et son équipe ont inscrit 850 patients en trois ans et ont pu les suivre de près pendant des mois après leur sortie de l’hôpital.
« Ce que l’on peut affirmer, c’est qu’ils ont tous ou presque tous constaté une amélioration de leur qualité de vie grâce aux soins prodigués dans le cadre du programme. »
Le programme fonctionne si bien que l’hôpital St. John's étend le service aux patients externes très à risque, espérant les aider à s’éloigner de la salle d’urgence ou de l’hôpital.
« Ils sont très nombreux, et nous n’en avons pas encore tout à fait mesuré l’ampleur. Je crois que nous serons surpris, à la même période l’an prochain, du nombre de patients que nous pourrions réellement aider avec ce programme », remarque le Dr Stampehl.
Des études de cas ont démontré que des patients comme Corky Lafleur réduisent, dans plusieurs cas, leurs visites à la salle d’urgence de 50 à 65 %.
Corky attribue également au lien personnel qu’il entretient avec Helen, son infirmière, le fait qu’il surveille davantage son alimentation et qu’il est plus actif.
Et chaque matin, lorsqu’il monte sur le pèse-personne, c’est comme s’il rendait visite à son médecin.
Un pas de plus vers l’avenir des soins de santé.