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Obtenir la thérapie
L’opération d’un enfant souffrant d’une malformation cardiaque congénitale a pour but de limiter les conséquences négatives de la malformation et d’améliorer durablement l’état de santé de l’enfant. Après une première opération, il est possible qu’une intervention complémentaire soit nécessaire après quelques années. Dans ce cas, une méthode mini-invasive de Medtronic peut constituer un traitement approprié.
Les examens pratiqués par votre médecin démontreront si vous avez (ou si votre enfant a) besoin d’une opération pour corriger l’anomalie cardiaque. Si cette intervention porte sur la correction d’une anomalie de l’artère pulmonaire et/ou de la valve pulmonaire, les produits de Medtronic peuvent aider à normaliser la circulation du sang dans le cœur.
Votre médecin doit évaluer beaucoup de facteurs pour déterminer si vous entrez (ou si votre enfant entre) en ligne de compte pour une intervention chirurgicale ou une intervention mini-invasive.
En savoir plus : Implantation d’un conduit
En savoir plus : La technologie transcathéter
A quoi devez-vous vous attendre avant, pendant et après l’intervention cardiaque.
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Le traitement chirurgical des malformations cardiaques congénitales est une spécialité à part entière au sein de la chirurgie cardiaque. Ces dernières années, la technologie et les connaissances médicales se sont considérablement améliorées. De nos jours, on tend à opérer les malformations cardiaques congénitales le plus tôt et le plus complètement possible. Ce n’est que lorsque le flux sanguin dans le cœur est rétabli au mieux que les conséquences délétères s pour le cœur et les poumons peuvent être limitées.
Il existe de multiples malformations cardiaques, ce qui explique que chaque cas nécessite un approche thérapeutique individualisée. Les possibilités cardiologiques et/ ou chirurgicales sont évaluées.
Les parents d’un enfant malade qui doit subir un traitement ou une intervention se trouvent dans une situation inconfortable : ils doivent prendre une décision. La crainte de faire une erreur ou d’autoriser quelque chose qui ne donnera peut-être pas le résultat escompté est grande. Un entretien approfondi avant l’intervention avec le cardiologue pédiatrique est particulièrement important.
Habituellement, les points suivants sont abordés :
Le rôle du chirurgien est de décrire aux parents ce que l’opération implique et de les rassurer quant au succès espéré. Tout le monde manifeste certaines craintes avant une opération cardiaque : Qu’arrivera-t-il si cela se passe mal ? Quel est le risque de décéder pendant ou après l’opération ?
Actuellement, la plus grande partie des malformations cardiaques congénitales peut être corrigée en toute sécurité et avec la précision maximale. Et même si l’opération implique un risque élevé, il faut réaliser que le risque de décès dans la situation actuelle (sans opération) est encore plus élevé. Le chirurgien cardiaque pédiatrique fera de son mieux pour répondre à toutes vos questions au cours de l’entretien, et il mettra soigneusement en balance les risques éventuels de l’intervention par rapport à ses bénéfices.
En cas de malformation cardiaque congénitale, lorsqu’il faut remplacer la valve pulmonaire ou reconstruire la jonction entre le cœur et les poumons, il faut ouvrir la cage thoracique. Dans la plupart des cas, des interventions complémentaires sont nécessaires après cette première opération, pour permettre au cœur de fonctionner le plus adéquatement possible.
Bon nombre de patients, ainsi que leurs parents, appréhendent cette intervention. Il est dès lors important que toutes les personnes concernées comprennent précisément ce qui se passe lors d’une intervention de ce type.
Il existe différentes possibilités thérapeutiques pour la correction d’une malformation cardiaque congénitale. Posez toutes vos questions à ce sujet à votre médecin traitant ou au personnel médical de l’hôpital où sera pratiquée l’intervention. Toutes ces personnes sont capables de répondre à toutes les questions que vous vous posez au sujet de l’opération.
Les associations de patients offrent également un soutien pour les patients et leurs parents. Il est également possible d’échanger des informations avec des personnes ayant vécu la même intervention. Bon nombre de ces associations pourront vous fournir des informations répondant à vos questions.
Plusieurs examens préalables sont nécessaires pour savoir si vous êtes candidat pour un remplacement de la valve pulmonaire au moyen de la technologie transcathéter mini-invasive.
À cet égard, le médecin examine attentivement les points suivants: pression interne du cœur, dimensions du conduit (vaisseau artificiel) qui a été introduit précédemment entre le ventricule droit et l’artère pulmonaire, ainsi que la position des artères coronaires qui fournissent le sang au cœur.
En outre, la morphologie et l’âge du patient sont importants, car ces facteurs influencent les dimensions des vaisseaux sanguins : la limite inférieure est fixée ici à cinq ans, ou au moins 30 kg.
Étant donné que la valve doit être fixée par le biais de la pression existant dans les vaisseaux sanguins, un vaisseau artificiel (conduit) doit déjà être présent avant l’implantation. Il peut s’agir d’une valve de donneur humain (on parle alors d’homogreffe) ou d’une valve artificielle biologique (dans un tube en Dacron).
Au cours de l’entretien préalable avec le médecin, on détermine dans quelle mesure toutes ces conditions sont remplies. L’implantation d’une valve transcathéter pour remplacer la valve pulmonaire ne convient pas à tous les patients souffrant d’une malformation congénitale de la valve pulmonaire.
En cas d’intervention mini-invasive au moyen de la technologie dite transcathéter, la valve est amenée à l’endroit souhaité, via les grands vaisseaux du corps. Il ne faut donc pas ouvrir le thorax.
La veille de l’intervention, de nombreux examens doivent être effectués afin de préparer au mieux l’intervention. Nous savons par expérience que les examens préalables ont une importance réelle sur le succès de l’opération.
Juste avant l’intervention, le patient est endormi par un spécialiste (anesthésiste). Un autre spécialiste, le cardiologue interventionnel pédiatrique, démarre alors l’intervention. Le médecin commence généralement l’implantation par une incision au niveau de l’aine (veine fémorale). Si celle-ci ne permet pas un accès facile au cœur, la valve serait introduite via le cou (veine jugulaire).
Par cette incision, le médecin achemine le cathéter vers le cœur, pour mesurer la pression et se faire une idée de l’anatomie, de la fonction du cœur et de la valve actuelle.
Ensuite, le médecin introduit le système de mise en place jusque dans le cœur – pour être précis : jusqu’à la valve pulmonaire endommagée. Ce système possède une pointe effilée pour simplifier le passage à travers les vaisseaux sanguins et dans le cœur. Derrière cette pointe se trouvent deux petits ballonnets, encore dégonflés. La valve transcathéter, elle aussi non dépliée, est fixée sur le système de mise en place au-dessus des ballonnets et une gaine est glissée par-dessus la valve pour un alignement parfait avec la pointe effilée.
Quand le système est positionné correctement dans le cœur au niveau du conduit (entre le ventricule droit et l’artère pulmonaire), la gaine recouvrant la valve est retirée. Les ballonnets sont gonflés. Le stent porteur de la valve se déplie et se plaque contre les parois du conduit endommagé.
Ensuite, les ballonnets sont rapidement dégonflés et retirés dans la gaine. Le médecin retire ensuite du corps du patient le système de placement, après quoi il mesure à nouveau les paramètres de pression dans le cœur. De plus, on effectue une imagerie par angiographie pour s'assurer que la position de la valve transcathéter est correcte et que le sang peut circuler dans le cœur comme prévu.
L’intervention ne dure en général que quelques heures. Normalement, un séjour en soins intensifs n’est pas nécessaire. Le patient peut généralement quitter l’hôpital après deux jours.
Les informations contenues sur ce site Internet ont pour seul objectif de vous donner un meilleur aperçu des thérapies de Medtronic, ainsi des affections auxquelles ils s’appliquent. Ces informations ne remplacent en aucun cas un avis médical. Pour toute question sur votre santé ou tout avis médical, contactez votre médecin ou un professionnel de santé.
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