Série MedEd Bytes

La série de vidéos MedEd Bytes propose un format d’apprentissage rapide et facile à assimiler, permettant de consolider vos connaissances quant aux différentes thérapies utilisées dans le cadre du monitorage des patients et des interventions respiratoires. Dans cette série, nous aborderons des sujets tels que les capnogrammes, la technologie utilisée dans l’oxymétrie de pouls, les modes de ventilation, et bien plus encore. Pour ne rien manquer, abonnez-vous à notre chaîne YouTube ou commencez à visionner la série de vidéos ci-dessous.


Monitorage en unité de soins intensifs néonatals avec INVOS™

Chez les nouveau-nés prématurés, certains organes peuvent être immatures et fonctionner de façon sous-optimale, ce qui les expose à une mauvaise perfusion et à une mauvaise administration d’oxygène. Le monitorage de routine des signes vitaux peut ne pas détecter ce problème, car il ne capte pas l’apport, la demande ou le contenu en oxygène au niveau de l’organe1. L’oxymétrie régionale avec INVOS™️offre un monitorage non invasif de l’oxygénation dans les tissus sous le capteur, en temps réel2, ce qui permet aux cliniciens de limiter l’exposition des patients à l’hypoxie des organes cibles1.

Dans cette série MedEd Bytes, nous discuterons de l’oxymétrie régionale appliquée chez les patients néonatals en état critique.

Vidéo 1 : soins individualisés

Chez cette population de patients, des soins individualisés impliqueraient idéalement l’évaluation de la perfusion et/ou de l’oxygénation du cerveau ou d’autres tissus et organes afin d’assurer que l’échange gazeux et la stabilité hémodynamique sont adéquats3.

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Vidéo 2 : monitorage de routine

Le monitorage de routine des signes vitaux globaux, tels que la fréquence cardiaque, la diurèse, le débit cardiaque ou la pression artérielle, peut s’avérer insuffisant pour détecter la désaturation régionale de l’oxygène tissulaire4.

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Vidéo 3 : le système INVOS™

L’oxymétrie régionale avec INVOS™ peut permettre aux cliniciens de limiter le fardeau de l’hypoxie tissulaire terminale1.

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Vidéo 4 : monitorage de la fonction cérébrale

L’oxymétrie cérébrale peut détecter l’hypoxie cérébrale, elle-même associée à des résultats indésirables à court ou long terme5.

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Vidéo 5 : monitorage somatique

Les diminutions de la tendance d’oximétrie régionale du tissu rénal et splanchnique peuvent identifier plusieurs conditions, y compris les premiers stades du choc et de la septicémie, l’hypoxie globale, les variations de température ou le syndrome des loges6–9.

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Vidéo 6 : marqueurs de perfusion et INVOS™ comme première alerte

La mesure de la rSO2 peut s’avérer un signe d’alerte précoce et plus sensible d’hypoperfusion ou d’hypoxie comparativement aux marqueurs traditionnels de perfusion et d’oxygénation1.

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Vidéo 7 : l’oxymétrie régionale peut être indépendante des marqueurs globaux de perfusion.

Sans une mesure directe de l’apport en oxygène aux organes cibles, l’hypoxie tissulaire peut passer inaperçue ou les patients peuvent être traités inutilement1,10.

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Vidéo 8 : orienter le traitement de la désaturation cérébrale avec INVOS™

Pour améliorer l’oxygénation cérébrale, vous pouvez augmenter l’apport en oxygène, la teneur en oxygène artériel, ou diminuer la consommation d’oxygène11,9.

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Vidéo 9 : la NIRS comme signal de vasoconstriction cérébrale induite par l’hypocapnie

Cette étude de cas démontre l’importance que revêt le monitorage de la saturation régionale en oxygène, car elle indique les changements dans les couches tissulaires d’intérêt suite aux interventions cliniques12.

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Vidéo 10 : la NIRS pour détecter l’impact hémodynamique de la ventilation mécanique

Dans cette étude de cas, les cliniciens ont pu diminuer l’importance de la ventilation assistée et éviter des doses supplémentaires de vasopresseurs, tout en maintenant une oxygénation cérébrale et somatique adéquate, grâce aux informations de monitorage fournies par la NIRS.13

3:18

Vidéo 11 : la NIRS comme guide dans la prise en charge de l’instabilité hémodynamique et l’état de choc

La désaturation somatique peut servir d’indicateur précoce d’état de choc, car c’est une alerte, pour les cliniciens, de la redistribution du flux sanguin suite à l’apparition de l’instabilité hémodynamique.14

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Vidéo 12 : la NIRS pour détecter les besoins en transfusion

La différence de base entre la saturation en oxygène splanchnique et la saturation en oxygène cérébrale peut être un marqueur de besoin de transfusion15.

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Vidéo 13 : la NIRS pour détecter l’hypoperfusion rénale

La rSO2 rénale permet d’identifier un dysfonctionnement hémodynamique rénal chez les nourrissons prématurés dès le premier jour de vie16.

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